Comment obtenir une perception plus fine de la situation et poser des questions clés lorsqu’un client semble tourner en rond, quand sa capacité d’action semble soudainement réduite, voire bloquée ?
Grâce à sa capacité à générer du contenu textuel, visuel et vocal, l’IA générative peut ouvrir la voie à un accompagnement plus personnalisé, plus réactif et plus accessible.
Les jeux de cartes ne remplacent pas votre posture de coach. Mais ils peuvent enrichir l’espace, débloquer la parole, et permettre des prises de conscience puissantes — autrement. Ce sont souvent les cartes qui ouvrent la porte…Mais c’est le·la coaché·e qui choisit d’entrer.
Grâce à la neuroplasticité, nous savons aujourd’hui que le cerveau peut évoluer tout au long de la vie, créer de nouveaux chemins neuronaux et affaiblir les anciens. Et c’est précisément ce que le coaching met en mouvement.
Dans un monde traversé par le changement, l’incertitude et la quête de sens, une compétence devient centrale : la capacité à créer du lien. Cette connexion n’est pas seulement un outil de communication. C’est un fondement. Une puissance discrète mais essentielle, qui permet à chacun de grandir — y compris soi-même.
Introduire un support ludique dans une séance peut sembler décalé… et pourtant, c’est souvent une clé. Le jeu surprend, il allège la pression, il déplace la relation. L’attention n’est plus centrée uniquement sur le face-à-face coach/coaché, mais sur un objet tiers qui devient médiateur.
Pour les coachs, intégrer la QVCT dans leurs interventions, qu’elles soient individuelles ou collectives, constitue un champ d’action riche et porteur, en phase avec les attentes actuelles des organisations et des collaborateurs. Le coaching devient ainsi un acteur clé pour construire des environnements de travail plus humains, performants et durables.
En tant que coach ou formateur, nous sommes en charge de la gestion de la dynamique de nos groupes : maintenir un niveau d’énergie élevé, favoriser les échanges fluides et prévenir toute forme de démotivation.
Quel que soit l’objectif exprimé par mes clients — évoluer dans leur carrière, mieux gérer un conflit, oser prendre la parole, clarifier un projet ou même retrouver un équilibre personnel — très souvent, en creusant un peu, on retrouve en toile de fond une question de confiance en soi.
Dans un contexte où le coaching professionnel connaît une croissance soutenue – avec un chiffre d’affaires estimé à 750 millions d’euros en France et une progression annuelle de 10 % – la question n’est plus « faut-il se spécialiser ? » mais dans quoi se spécialiser ?
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