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Faut-il avoir peur de la rentrée ?

peur

L’injonction actuelle est : “Ayez peur !” 

Peur du covid, de la variole du singe, du climat, de la sécheresse, de respirer, de manger, de la guerre, du coût de la vie, du terrorisme etc.

C’est l’injonction que nous recevons de tous cotés depuis des mois.  Alors doit-on arrêter de vivre ou vaut-il mieux dompter nos peurs ?    

La peur est génératrice d’anxiété et nous fait consommer des choses dont nous n’avons pas besoin, voire nous nuisent et peuvent entrainer des addictions : nourriture, alcool, tabac, médicaments, sexe, fast fashion, jeux, bing watching… Elle est aussi inhibitrice et nous empêche d’avancer.

Il est plus facile de s’inventer des excuses que de changer

On peut aussi s’inventer des excuses : j’ai peur d’avancer car je n’ai pas les connaissances ou les bons diplômes, je n’ai pas l’argent, je suis trop vieux ou trop jeune, je n’ai pas l’énergie, j’ai peur du changement… Il est plus facile de s’inventer des excuses car on a aussi peur d’échouer, d’être ridicule, du regard des autres…

Alors comment dépasser ses peurs. En passant à l’action. Il faut passer du mental au comportemental car si on reste dans le mental, on ne peut pas changer. Comprendre est une chose, le faire est une autre chose.

C’est dans l’action qu’on transforme ses peurs

comme l’écrivait Susan Jeffers, auteure américaine, dans son livre « Tremblez mais osez », c’est en dehors de notre zone de confort que se situe la transformation. Rester chez soi à regarder des séries ou rester dans sa routine professionnelle ne nous permet pas de nous confronter à nos peurs et donc de nous développer. Le choix est donc : vaut-il mieux que j’ai peur en sortant de ma zone de confort ou dois-je me laisser imposer la peur ?  En gestion du stress, nous savons qu’il vaut mieux avoir la capacité de décision que de ne pouvoir rien faire.

En revanche, quand on décide d’une action pour avancer, il faut la répéter tous les jours pour l’ancrer. C’est un principe bien connu en coaching. On demande à son client sur quoi il va s’engager et comment il compte, en dehors des séances, réaliser cette action, avec qui et combien de fois. Cela nécessite donc du courage et de la répétition dans l’action.

Les questions sur la peur à poser à nos clients

Voici les questions que vous pouvez poser à vos clients quand ils n’avancent plus et que des freins apparaissent :

  • Que ne faites-vous pas par peur ?
  • De quoi avez-vous peur ?
  • Quelles sont les excuses que vous invoquez dans ce cas ?
  • Si vous aviez une baguette magique, que feriez-vous de différent ?

 

Pour vous aider dans le développement personnel de vos clients ou le votre, découvrez dans la boutique le programme : “Le selfcoaching® Soft&Slow”.

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